Depuis quelques années, je suis une fan du thermomètre. Petite, déjà, je me plaignais de toutes sortes de malaises imaginaires pour que l'on me prenne la température. Plus grande, ma fantaisie m'a même value quelques sacrées fessées, notamment de la part de ma mère car elle n'admettait pas qu'on touche à l'armoire à pharmacie en son absence.

Comme vous allez le voir, les choses n'ont guère changé depuis. Je me suis rapidement acheté un thermomètre. Il est très mignon avec son petit renflement et sa graduation bicolore ! Lorsque j'ai des "démangeaisons" et que je suis certaine de ne pas être dérangée, j'installe mon grand miroir sur une chaise près de mon lit et je me déshabille entièrement. Une fois nue, je sors le thermomètre de son étui et je commence à me caresser avec. Je le promène assez longuement sur mon corps, mon cou et même mon visage.

De temps en temps, je m'amuse à lécher son extrémité du bout de la langue. Ensuite, je m'attarde sur mes seins et je stimule longuement les pointes. Je le fais passer aussi sur mon ventre puis mes cuisses, avant de remonter lentement vers ma vulve, en prenant bien soin de le faire tourner autour du clitoris. À ce moment-là, je suis dans tous mes états, même si je mouille dès le départ.

Lorsque je sens le moment venu, je me tourne sur le ventre car je ne veux rien manquer de ce que je vais voir dans le miroir. Je parcours légèrement mes petites fesses rondes avec l'extrémité du thermomètre. Au bout de quelques minutes, je plonge doucement vers ma fente, frôlant au passage mon anus offert puisque j'ai les cuisses bien écartées. Je recommence plusieurs fois ce scénario jusqu'à ce que je me sente prête. Mes caresses se font alors plus précises. Je picore mon anus en donnant cette fois des petits coups de bec, comme si je frappais avant d'entrer ! Je n'ai pas besoin de vaseline car grâce à la pointe de l'instrument, je lubrifie ma petite étoile en recueillant ma mouille sur la pointe de l'instrument. Enfin, je serre fort les fesses pour pouvoir bien sentir la progression de l'objet. Quelques secondes plus tard, la petite fléchette est dans le mille ! J'aime beaucoup contempler dans la glace mon cul ainsi paré de mon plus beau bijou. Il suffit alors que je me caresse un peu le bouton en serrant l'anus pour partir dans des sensations vraiment très fortes. Parfois, je suis tellement excitée qu'il m'arrive de recommencer presque coup sur coup.

Lorsque tout est fini, je lave mon thermomètre et, avant de le ranger dans son étui, je lui fais un gros bisou sur le nez pour le remercier du plaisir qu'il m'a procuré. Bien entendu, je n'ai jamais avoué ma petite manie à mon copain car je suis certaine qu'il me prendrait pour une folle. Je rêve qu'un jour un charmant infirmier, ou pourquoi pas une belle infirmière en blouse blanche me prenne la température de cette manière.

Véronique